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MarvelStudios et Sony ayant aligné trois générations de Spider-Man, on peut imaginer qu’ Andrew Garfield a beaucoup à raconter à propos de son expérience avec Spider-Man : No Way Home. On en a la confirmation via les anecdotes suivantes. Attention, vous risquez de kiffer Andrew Garfield encore plus.
Lesfans du tisseur voient triple ! Si Spider-Man No Way Home a fait un tel carton dans le monde, c'est aussi parce que Tom Holland a été aidé par deux ex-Peter Parker. Tobey Maguire et Andrew
Explicationde la scène post-crédits de Spider-Man No Way Home pour Dr Strange 2 . Une fois le générique terminé, nous quittons le monde de Spider-Man pour une bande-annonce de Doctor Strange in the Multiverse of Madness qui sortira le 6 mai 2022 aux US.Il semble que la manipulation du multivers soit devenue incontrôlable pour Strange, et il a été
SpiderMan : No Other Way Home est enfin rentré à la maison, car les fans peuvent désormais acheter le film sur des plateformes numériques comme iTunes et Vudu. Cela survient alors que le MCU Spidey threequel poursuit sa longue course dans les salles, gagnant près de 800 millions de dollars sur le marché intérieur jusqu’à présent – et à juste titre.
SpiderMan : No Other Way Home de Marvel et Sony est sur le point de revenir sur le devant de la scène grâce à sa prochaine sortie à domicile fin mars 2022. Le film solo le plus rentable du MCU dans l’histoire est toujours l’un des sujets les plus populaires du fandom grâce à de nouveaux regards sur l’intrigue et les histoires derrière la production.
nonton tale of the nine tailed idlix. 5 décembre 2021 - MAJ 05/12/2021 1819 Science-fiction Action Animation actualité Alors que Spider-Man No Way Home arrive bientôt, Miles Morales et Gwen Stacy sont de retour dans le premier teaser de Spider-Man New Generation 2. Le monde entier a les yeux rivés sur Spider-Man No Way Home, le troisième volet de la trilogie Homecoming, avec Tom Holland qui fera face aux super-vilains des franchises de Sam Raimi et Marc Webb, dans ce qui s’annonce déjà comme le plus gros film de 2021 selon les analystes du box-office, avec potentiellement le retour de Tobey Maguire et Andrew Garfield dans leurs costumes respectifs. Et alors que l’interprète actuel du tisseur de toiles gardera le costume pour une nouvelle trilogie déjà annoncée, une autre version très appréciée de Spider-Man et du multivers va faire son grand retour à l’automne 2022, à savoir Miles Morales, avec Spider-Man New Generation 2, dont on connaît désormais le titre VO Spider-Man Across the Spider-Verse Part One. Un titre qui laisse clairement entendre que cette suite au premier volet sorti en 2018 sera donc en deux parties. Et cette suite de Spider-Man Into the Spider-Verse, dirigée cette fois par un nouveau trio de réalisateurs, vient de dévoiler un premier teaser surexcitant, qui promet une nouvelle claque visuelle stratosphérique, après un premier volet oscarisé pour l’occasion. On y retrouve Miles Morales littéralement là où l’on l’avait laissé à la fin du premier film, dans son lit avec son casque, où Gwen Stacy semblait ouvrir une brèche du Spider-Verse pour l’appeler. À en croire ces premières images, Across the Spider-Verse semble être vraiment la suite directe de Into the Spider-Verse, avec en son centre la relation entre Miles et Gwen, qui vont parcourir une toute autre version du Spider-Verse, dans un style visuel radicalement différent du premier opus. Toujours avec Daniel Pemberton à la musique, ce premier teaser promet encore une fois un travail visuel et sonore assez dingue, où l’on peut déjà voir que Miles va notamment croiser une autre version de son alter-ego, Spider-Man 2099, aka Miguel O’Hara, qui sera doublé en VO par Oscar Isaac. Pour rappel, l'acteur a déjà rejoint l’écurie du MCU pour la mini-série Moon Knight, qui a dévoilée récemment des premières images assez intrigantes. Visuellement, ça a l'air assez fou Il ne reste plus qu’espérer que cette suite aura autant de succès que le premier opus auprès du grand public. Et au vu de ce premier aperçu, cela semble plutôt bien parti. Pour rappel, Spider-Man New Generation 2, ou Spider-Man Across the Spider-Verse Part One dans son titre original, est attendu pour le 12 octobre 2022 dans nos salles. Tout savoir sur Spider-Man New Generation 2 Spider-Man New Generation 2 dévoile son grand méchant dans une nouvelle image prometteuse Spider-Man New Generation 2 et 3 - il va falloir patienter, les films sont encore repoussés Marvel Miles Morales a peu de chance d'être dans Spider-Man No Way Home à moins que ? Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
Action Aventure Marvel Spider-Man actualité Après plusieurs rumeurs, Spider-Man No Way Home dévoile enfin sa durée définitive, et c'est bien le plus long des films Spider-Man. C’est sans aucun doute l’un des films les plus attendus de cette fin d’année 2021, et Spider-Man No Way Home continue de faire monter la hype, au fur et à mesure que sa date de sortie approche à grands pas. Après avoir fait crasher les sites de préventes, le troisième volet de la trilogie avec Tom Holland en tisseur de toiles a tout simplement fait exploser les records, ayant vaincu au passage celles de Black Widow en à peine deux petites heures. Avec son argument de poids qu’est le multivers, No Way Home a créé des attentes surdimensionnées autour de son programme, avec le retour des super-méchants des franchises de Sam Raimi et Marc Webb, mais aussi avec la possibilité que les deux précédents interprètes du héros soient également de la partie. Ce qui n’a pas encore été dévoilé dans la dernière bande-annonce, évidemment, contrairement aux super-vilains. Et tandis que les analystes du box-office prédisent déjà que ce nouveau Spider-Man sera le plus gros film de 2021, Collider vient de confirmer la durée officielle et définitive du long-métrage. Quand tu comprends que ton combat final va durer vraiment longtemps Et comme cela avait déjà été annoncé, Spider-Man No Way Home durera bien plus longtemps que les autres films consacrés à l’araignée, mais ce sera aussi tout simplement l’un des films les plus longs du MCU de Marvel. Au final, No Way Home durera en tout 2h30, en incluant la ou les scènes post-génériques, dont on ne connaît évidemment pas encore la teneur. Pour rappel, Homecoming durait 2h13, tandis que le second volet, Far From Home, affichait quant à lui 2H09 au compteur. Ce qui est beaucoup moins comparé à ce troisième volet qui se place, dans le MCU, juste derrière les trois heures d’Avengers Endgame et les 2h37 des Éternels. Une longue durée facilement compréhensible au vu du lourd cahier des charges que promet cet opus, entre la faille du Multivers, ou encore le retour d'Alfred Molina en docteur Octopus qui ne semble pas si méchant que ça, au vu des dernières images dévoilées. Mais aussi l’introduction de tous les autres super-vilains qui sont également de retour. Entre Jamie Foxx en Electro, ou encore Willem Dafoe en Bouffon Vert, cela fait beaucoup de monde à introduire dans un film de 2h30, surtout si Tobey Maguire et Andrew Garfield s’invitent finalement bel et bien à la fête. Pour voir ça, il faudra attendre 2h30 Cette durée définitive promet en tout cas un gros bouquet final pour la trilogie Homecoming, avec un film qui ne sera finalement pas le dernier avec Tom Holland dans le costume, vu qu’une nouvelle trilogie a déjà été confirmée, toujours avec l’acteur dans le rôle-titre et au sein du MCU. Il reste en tout cas peu de temps à patienter avant de découvrir Spider-Man No Way Home, qui arrivera en France le 15 décembre 2021 dans nos salles. Tout savoir sur Spider-Man No Way Home Marvel - Spider-Man No Way Home de retour dans les salles de cinéma ? Marvel Sony espère le retour du réalisateur de Spider-Man No Way Home Spider-Man No Way Home censuré en Chine pour la raison la plus drôle du monde Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
60 ans cette année ? ! La première aventure de Spider-Man est parue en août 1962, à un moment où les super-héros n’avaient plus vraiment la cote aux USA. Évoluant dans l’univers Marvel, doué d’une force surhumaine, Spider-Man est le premier super-héros adolescent, dont le principal pouvoir est de coller aux murs. On décrypte ce succès planétaire avec Olivier Delcroix, journaliste au Figaro et auteur de Les super-héros au cinéma Ed. Hoëbeke, et avec Gilles De Gendt, libraire chez Spider-Man Identité civile Peter Parker Fonction Super-héros Signe distinctif costume rouge et bleu Ville New York Date de naissance 1962C’est l’histoire d’un super-héros qui aurait pu ne jamais voir le jour. Un héros qui s’appelle araignée, ça ne peut pas marcher, tout le monde déteste les araignées. Et puis, un héros adolescent, ça ne fait pas sérieux. Un héros, ça doit être grand et musclé. Or Peter Parker est un étudiant gringalet, coincé et surprotégé par sa tante. Mais le scénariste Stan Lee et le dessinateur Steve Ditko persistent dans leur idée et décident de publier la première aventure de leur homme araignée dans le tout dernier numéro du magazine comics The Amazing Fantasy, en août 1962. Le succès est immense et quelques mois plus tard, en mars 1963, paraît le tout premier numéro de The Amazing Spider-Man. La série existe encore aujourd’hui. Première apparition de Spider-Man en 1962, dans la revue comics Amazing Fantasy Amazing Fantasy/YoutubeComment s’explique ce succès ?Principalement parce que Spider-Man est un adolescent comme les autres, avec les mêmes problèmes d’adolescents que ses jeunes lecteurs. Il doit combattre des méchants mais il doit aussi étudier pour réussir ses contrôles de maths. Il n’est pas riche et doit travailler comme photographe pour aider sa tante à payer ses factures. Il doit apprendre à maîtriser un pouvoir énorme qui lui est tombé dessus par accident et qui lui donne de grandes responsabilités. Ce n’est pas facile d’être un super-héros quand on est si jeune ! Les BD de Spider-Man ont 60 ans aujourd’hui. Mais ce triomphe s’est poursuivi aussi au cinéma, avec 3 versions sur grand écran depuis 2002, pour un total de 11 films jusqu’ici. Tobey Maguire à voir dans la vidéo ci-dessous dans le premier film Spider Man, Andrew Garfield et Tom Holland ont incarné le super-héros. Dans le dernier Spider-Man No Way Home, sorti en 2021, les trois acteurs se trouvent réunis. Le film est le 6e plus gros succès commercial de l’histoire du cinéma, avec presque 2 milliards de dollars de recettes. Spider-Man, un super-héros failliblePour Olivier Delcroix, journaliste au Figaro et auteur de Les super-héros au cinéma Ed. Hoëbeke, Spider-Man est un vieux compagnon qui bénéficie d’une éternelle jeunesse. "Spider-Man est véritablement un héros qui est l’adolescent type. Il est l’éternel adolescent. C’est le passage à la puberté. Piqué par une araignée lors d’une sortie scolaire, il va acquérir des pouvoirs. […] Dans le premier film de Sam Raimi sorti en 2002, on voit très bien que du gringalet qu’il était, il est devenu un homme formidable. Tout d’un coup, de ses poignets, jaillit une substance bizarre et blanche. A la fois, il en est tout honteux et en même temps, il en est tout joyeux. Il va commencer à composer avec cette sortie de l’enfance. Effectivement, il y a quand même une sorte d’ode à l’onanisme dans le personnage de Spider-Man. C’est le principe même de l’idée de dire adieu à l’enfance et de se colleter avec le monde des adultes. C’est pour cela qu’il est si populaire, il a cette fragilité, il a ce côté attachant et en même temps, il a cette volonté d’aller vers l’avant." En racontant sa vie de tous les jours, avec ses petites misères, le scénariste Stan Lee et le dessinateur Steve Ditko en font vraiment le Calimero des super-héros. Il se fait harceler à l’école, il est très timide, surtout avec les filles, il n’a pas d’argent, il a plein de problèmes et c’est ainsi qu’il se rapproche de nous. "On a une sorte de romance, de sitcom qui se croise avec la BD de super-héros, dès 1962." Loin des grandes figures mythologiques des super-héros qui font leur grand retour dans les années 60 Superman, Batman, …, Spider-Man est la figure du super-héros faillible, immature, qui se bat à son propre niveau, dans son propre quartier. Un personnage bien dans son époqueL’année 1962 est une année formidable. C’est l’année où la pop culture se met en place James Bond au cinéma, les Beatles, Blake et Mortimer dans Le piège diabolique,… C’est aussi la fin des mythes, avec notamment le décès de Marilyn Monroe. Spider-Man va être l’ambassadeur Marvel de ces années extraordinaires. Il faut noter que les personnages de super-héros créés par Stan Lee pour Marvel Hulk, Les Quatre Fantastiques, Spider-Man… sont tous au départ des monstres transformés ou victimes d’accidents. "D’un côté, on a les personnages de Superman, Batman, Wonderwoman, qui sont des archétypes plutôt patriotiques, des dieux. Et de l’autre, on a des personnages plus pop, plus pétillants, effectivement plus faillibles. Là où Superman incarne l’espoir, où Batman incarne la vengeance, Spider-Man incarne plutôt le coeur. C’est ça qui touche, qui est attendrissant, qui nous permet une identification beaucoup plus forte avec Spider-Man", souligne Olivier Delcroix. Sur le même sujetArticles recommandés pour vous
Si le stand alone Spider-Man Miles Morales reste bien l'une des stars du line-up de la PS5, le jeu original sorti en 2018 aura lui aussi droit à sa version Remastered pour l'occasion, Insomniac Games n'a pas chômé et proposera une technique de premier ordre avec de la 4K, un mode à 60FPS, des temps de chargement quasi-inexistants, un son spatial 3D mais aussi la mise à profit des gâchettes adaptatives et du retour haptique de la DualSense. Mieux encore, le jeu s'appuiera du ray tracing et de modèles 3D revus en l'occurrence, celui de Peter Parker a tout simplement changé de visage, se rapprochant alors drastiquement d'un certain... Tom Holland, l'illustre figure du MCU ! En réalité, Sony avoue que les traits sont calqués sur ceux de Ben Jordan, mannequin de profession. Il faut quand-même bien avouer que les deux ont un sérieux air de famille en voici justement une vidéo, et en 4K s'il vous plait. Toujours dans le but d'exhiber cette mouture next-gen, les développeurs ont également diffusé une toute première séquence de gameplay. Sa particularité ? Celle-ci tourne en soixante images par seconde et il faut bien avouer que l'expérience risque d'être sacrément fluidifiée. Enfin, notons qu'une toute nouvelle tenue sera également intégrée à ce Spider-Man Remastered, et pas des moindres puisqu'il s'agit du costume de l'Araignée dans le film The Amazing Spider-Man, sorti en 2012 et dans lequel Andrew Garfield était la figure de proue. Un ajout sympathique qui fait d'ailleurs lien au skin culte des longs-métrages de Sam Raimi, apparu par le biais d'une mise à jour fin 2018. Spider-Man Remastered sera disponible dans Spider-Man Miles Morales Ultimate Edition, un package comprenant l'extension éponyme et le jeu qui sera commercialisé le 19 novembre 2020 pour une centaine d'euros. Sans ça, s'ils possèdent déjà le titre d'origine, les futurs possesseurs du stand-alone Miles Morales disposeront d'une mise à niveau PS5, entièrement gratuite. Voilà, vous savez tout.
Comme d’habitude, on est ici dans une critique avec spoiler, donc je ne me retiens pas, je lâche tout. Dès lors, évitez à tout prix de la lire avant d’avoir vu Spider-Man No Way Home. De toute façon, elle n’a pas grand intérêt à être lu sans l’avoir vu, car je m’exprime en considérant que c’est le cas. La naissance de Spider-Man Par où commencer ? Il y a tellement de choses à dire. J’ai envie de débuter ma critique par la fin. Ce sublime passage avec le costume classique de l’Araignée cousu main. Un costume affichant d’ailleurs des couleurs éclatantes. Jamais Spider-Man n’aura été aussi Spider-Man au cinéma. Pour rappel, Spider-Man No Way Home, comme ça a été dit par la productrice Amy Pascal, n’est pas le dernier film Spider-Man de Sony avec Marvel Studios. Néanmoins, il s’agit de la conclusion d’une trilogie. La trilogie Home. Avec le recul, ça a été une superbe trilogie. Celle où un jeune Peter Parker a été pris sous l’aile de Tony Stark au point de devenir une sorte d’Iron Boy jusqu’à sa mue en Spider-Man. C’est marrant, après la conclusion, de se rappeler que certains critiquaient trop rapidement le fait qu’il ne s’agissait pas d’un vrai Spider-Man. Sur ce dernier film, l’héritage d’Iron Man est pratiquement mis au placard sinon pour le costume à base de nanotechnologie et la séquence de l’utilisation de l’atelier de Stark. Bref, on sent qu’il y avait un plan de prévu depuis le début. On notera également l’inspiration du comic de J. Michael Straczynski et Joe Quesada, One More Day 2007/08, où, à la fin, le monde entier oublie l’identité secrète du super-héros en collant. Si cette fin m’avait sacrément agacé dans le comic à cause du rétropédalage. Il faut avouer qu’elle convient parfaitement au Spider-Man du MCU. Une première trilogie bouclée et une voie ouverte vers un Spider-Man ayant quitté le lycée. Seul ça m’a brisé le coeur, la scène finale entre Peter et MJ tant j’adhère à leur love story avec le Lego de l’Empereur. Fauché. Dans un appart’ pourri. Avec un loyer à payer. Mais avec le mantra suivant en tête. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités Preuve ultime de cette naissance. La mort, non pas d’oncle Ben, mais de tante May autour de la réplique culte Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités ». Bordel, j’ai morflé sévère sur ce passage. Surtout qu’on joue avec nos perceptions. Je me disais que Tante May allait mourir, puis finalement non. Elle ne semble pas si mal en point jusqu’à qu’elle s’écroule. La suite est un excellent numéro d’acteur de la part du duo Tom Holland et Marisa Tomei. J’étais tellement pas préparé à sa mort que je l’ai pris de plein fouet. Quand même, pauvre Peter. Il a tout perdu. Son mentor est mort. Sa tante est morte. Sa petite-amie et son meilleur ami l’ont oublié. J’ai adoré le passage où Doctor Strange, alors en nature conflictuelle l’arrogance du personnage va si bien à Benedict Cumberbatch avec Peter jusqu’ici, lui rend hommage. Admiratif de son sacrifice. C’est le Spider-Man tel qu’on le connaît. Celui qui place le bien-être de tout le monde avant le sien. Pour parler du Sorcier Suprême, j’ai apprécié ce moment où Stephen Bizarre, mais je l’accorde. » Strange se rend compte que, malgré toutes ses aventures, Peter Parker reste un adolescent. C’est une manière subtile de mettre en évidence le caractère juvénile du personnage, pas encore devenu un Spider-Man accompli. Les Sinister Five Le plus grand événement de Spider-Man No Way Home est sans aucun doute l’arrivée des personnages emblématiques des sagas précédentes. Évidemment, il y a toujours cette pointe de regret qu’une telle surprise ait été divulguée par la promotion. Mais c’est le jeu, ma pauvre Lucette. On va donc faire avec. Malgré tout, impossible de ne pas kiffer. Commençons avec les ennemis. Quel régal de découvrir les Sinister Five à l’écran avec une mention spéciale pour Willem Dafoe. J’ai été amusé de voir que le casque a rapidement été détruit. Un peu comme si on reconnaissait que le costume avait été foiré et qu’il fallait vite s’en débarrasser. La suite donnera raison. Le Bouffon Vert n’est jamais aussi terrifiant qu’au naturel. Le rictus de Willem Dafoe m’a fait froid dans le dos. Du Bouffon Vert, j’ai également adoré son premier combat à mains nues. Le coup où il fait passer Peter au travers de plusieurs étages. Quel plaisir. De même pour le combat final où le regard de Tom Holland est puissant. Je trouve qu’ils ont bien amené l’aspect équipe. Les interactions entre les vilains sont bien présentes et intéressantes. Apportant un peu de profondeur. J’ai particulièrement kiffé la scène où le sens de l’araignée de Peter claironne sans qu’on ne sache quelle est la menace. Un aspect paranoïa très réussi. J’ai aussi apprécié que l’Homme-Sable et le Lézard aient une vraie présence. Je m’attendais tellement à ce qu’ils soient anecdotiques, du coup, j’ai été agréablement surpris. Une histoire d’araignées pleine de nostalgie Même si j’ai beaucoup aimé les méchants. Mon gros coup de cœur va sans aucun doute pour les anciens Spider-Man. Bordel, la scène où Ned ouvre le portail et qu’on aperçoit l’Amazing Spider-Man… Je m’attendais à leurs arrivées, mais pas de manière aussi anodine. L’impact en a été décuplé. Ça fout un choc quand même de les revoir des années après. C’est là qu’on se rend compte de l’intérêt à ne pas montrer une telle chose dans la promotion. Si Andrew Garfield n’a pas trop changé, Tobey Maguire a pris un coup de vieux qui lui va tellement bien. Il apporte un aspect Old Man Spider lui conférant une classe totale. Et c’est un détracteur de son Spider-Man qui parle. Surtout, l’aspect fan service est activé à fond avec beaucoup de traits d’humour. Si jusque-là, beaucoup de blagues n’ont pas fonctionné chez moi. Dès l’arrivée des deux autres Spider-Man, je n’ai pas arrêté de rire. Les passages dans le laboratoire et avant le combat final sont hilarants. Tous les délires de fans y passent. Mention spéciale à Peter Tobey encourageant Peter Andrew en lui disant qu’il est amazing ». Quoiqu’il en soit, si j’aimais beaucoup Spider-Man No Way Home, quand les deux sont arrivés, on a passé un cap. Je me rends compte que je ne savais pas à quel point, ils m’avaient manqué. Ah, mais j’y pense, si on se marre bien avec eux, il ne faut pas non plus oublier l’émouvante scène où les deux retrouvent Peter Tom pour la première fois et discutent du deuil. C’était magnifique. Des frissons et des larmes. Je boucle cette partie en rendant hommage au sauvetage de MJ. Les mèmes vont enfin pouvoir s’arrêter. Un multivers maîtrisé Un autre point positif concerne la maîtrise du multivers. Je craignais que ça parte en couille dans tous les sens. Un peu comme dans les comics. Finalement, le tout est superbement contrôlé. Symbole de cet aspect Venom. Durant la scène post-générique de Venom Let There Be Carnage 2021, Eddie Brock et son symbiote débarquaient dans le MCU. Vu tout le mal que je pensais du personnage malgré Tom Hardy, j’étais donc ravi de le voir repartir illico presto après, tout de même, une scène assez marrante. Par contre, le petit morceau de symbiote restant, miam, miam. Quoiqu’il en soit, je suis ravi que l’univers de Sony reste dans son coin et ne pollue pas le MCU. Bref, après les séries de Marvel Studios, on se rend compte que finalement le multivers n’a pas d’aussi grandes conséquences dans l’univers du MCU en fait. Juste des impacts épisodiques. Ce qui n’est pas plus mal. M’enfin, je dis ça, mais quand on voit l’excellente deuxième scène post-générique. Popopopo, c’est du lourd. Puis aussi, il y a un certain Kang à gérer également. Bref, qui vivra verra. Marvel Knight Naturellement, il va sans dire qu’il faut parler du plus grand héros Marvel de Netflix, j’ai nommé Matt Murdock alias Daredevil. Au calme, l’homme sans peur vient de débarquer dans le MCU et même pas besoin de faire appel à Darcy Lewis pour dire qu’il a été recasté. Car Charlie Cox is back ! Quel kif. Surtout avec l’excellent gag de la brique. J’ai hâte de voir ce que Marvel Studios va faire avec Daredevil. Au rayon des défauts pour Spider-Man No Way Home. Je dirais sans doute une première partie trop dévoilée par le marketing. Du coup, pendant longtemps, j’étais là à me demander quand les nouveautés marquantes Daredevil mis à part viendraient. Une réalisation manquant de souffle épique Toujours du côté des défauts. La réalisation. Si je retiens deux très beaux plans. Celui semblant sortir du cinéma de Zack Snyder où Peter Parler est sous la pluie face à l’écran géant où J. Jonah Jameson génialement détestable lui fait des reproches. Le second, c’est quand il se balade à la recherche du Bouffon Vert avant de finalement tomber sur Electro. En passant, Electro, je ne peux pas m’empêcher d’esquisser un sourire à chaque fois que je pense à la blague sur le Spider-Man noir. Bref, je digresse. Pour revenir à la réalisation, malheureusement, Jon Watts a du mal à proposer un équivalent au rayon de l’action par rapport à ce qu’il propose pour l’émotion. Les combats sont sympathiques, mais n’offrent rien de particulièrement épique ce n’est pas Infinity War ou Endgame, quoi. Le passage dans la dimension miroir lors du combat Spidey / Strange est vraiment fun, mais il n’y a pas de réelles nouveautés par rapport au film Doctor Strange 2016. Malgré tout, je suis ravi que Jon Watts, comme Sam Raimi en son temps, ait pu boucler une trilogie sur le Tisseur avec sa patte ayant permis d’apporter une fraîcheur juvénile à ce Spider-Man là. Sa réalisation a gagné en maturité au fil des films, permettant d’avoir ce côté je grandis avec le personnage » pas dégueu. Par ayant furieusement envie de voir où va aller la saga.
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